Soirée près du feu (ok y'a pas de feu XD) [ PV ]

Alors que le jeune homme l'invita a dormir, il la prit par la main et l'entraina jusqu'a l'auberge. A vrai dire, passer une nuit a l'aubrege n'était pas ce dont elle avait rever toute sa vie, surtout le jour ou elle a enfin réaliser un de ses "rêves". M'enfin, si ca lui faisait plaisir, elle n'allait pas gacher celui-ci. Arriver devant la grande batisse, elle ressera l'etreinte de son manteau et s'avança vers la porte presque delabré. Elle frappa et une vieille femme lui ouvrit. Enfin, vieille, elle ne devait pas avoir plus d'une trentaine d'année, si ce n'est qu'elle avait deja de nombreux cheveux blancs et était completement courbée. Essayant de prendre sont ton le moins... agressif, la jeune fille lui lança :

« Bonjour, c'était pour avoir une chambre... »

La vieille, avec un ton des plus deplaisant lui lança :

« 1 ou 2 personnes, j'voit que vous avez ram'ner quelqu'un ! »

La jeune fille se tourna vers Alexiel et leva un sourcil. Elle reporta son attention sur la vieille femme et lui lança d'un ton bien plus agressif :

« Ben c'est combien pour 2 ? »

Sur le même ton, la vieille femme repondit :

« 150... »

La jeune fille ecarquilla de grands yeux et repndit :

« Euh... et pour 1 ? »

« Bah 50, mais bon elle... »

« Ben on va prendre celle-la !!! »

La vieille femme leva un sourcil et tendit la main. A ontre-coeur, Emeï lui donna son argent et soupira. Les aubreges était de plus en plus chère. La vieille partit pendant quelques instants et Emeï se tourna vers le jeune homme.

« Ca te derange pas au moins... J'veut dire de... Bref, tu m'as comprise.... »

Mieux valait ne pas s'enfoncer plus encore, il avait compris, c'était l'essentiel. La vieille revint alors et tendit des clès rouiller a la jeune fille qui s'empressa de les prendre avant de deguerpir par l'escalier près du bureau de la femme. Grimpant les marches quatres a quatres, la jeune fille ne verifia même pas si Alexiel la suivait. Arriver dans la chambre des plus miteuse, elle s'affala sur le lit et ferma les yeux, non contente d'avoir un peu de repos. La chambre était des plus hideuse. Une pièce aussi petite qu'une prison, un table de chevet a un coin du mur et un lit ou a peine une personne pourrait dormir. Mais ca suffisait a Emeï, tant qu'elle était avec Alexiel. Elle tourna son regard émeraude vers celui-ci et lui lança :

« Désolée por a qualité de la... chambre. C'est qu'ici, on est pas riche... »

Mais ce n'était pas une raison pour avoir des chambres miteuse tout de même...

L'entrée paraissait pourtant correcte, vue de l'extérieur. Ils devaient sans doute faire de leur mieux pour apater les arrivants puisque l'intérieur du hall trahissait avec un contraste étonnant l'apparence première. Alexiel avait connu bien pire, par conséquent, il ne broncha pas, et fit avec. Il n'allait pas jusqu'à penser que c'était du luxe, mais cela suffisait umplement. il se retint de bailler. Il se retint aussi de ne pas foutre un pain à la charmante vieille peau qui les avaient acueilli. . .

Après réflexion du prix, Emeï prit une chambre simple. Il souria d'une façon mesquine, une fois de plus. ( e fait, il avait un paquet d'sous dans la poche. . . Mais ce qui était fait était fait .xDDD) Il la laissa dépenser ses sous inutilement. Puis, même si elle préférait éviter le genre de discours qu'elle allait tenir, elle se lança:

" Ca te dérange pas au moins. . . J'veux dire de. . . Bref tu m'as comprise . . . . "

Elle s'arrêta là et se précipita dans les ecaliers en colimaçon. il la suivit des yeux, puis se mit à marcher dans la même direction, mais avec beaucoup moins de rapidité que sa compagne.

Il murmura, alors qu'elle demeurait absente. Il n'avait pas amené d'affaires car il n'avait que peu de chose qu'il consentait à se souvenir.

" Ce n'est pas que ça me dérange, mais j'éspère ne pas céder, cette fois. . ."

Il aborda une mine triste, encore gêné de l'avoir enrober ainsi, si vite fait. Pourtant, pour lui, tout allait si bien, si bien. . . Il allait partager cette première nuit ici, au côtés de celle qu'il affectionnait plus que tout au monde. Il cachait pourtant ce terrible secret qu'il fallait pour le jeune hom, garder à tout prix.

Arrivé en haut, il aperçut Emeï dans l'entrebaillement de la porte étallée sur le lit. Il fit le moins de bruit possible. Il entra avec une discrétion impressionante. Elle avait clos ses yeux. il s'approcha de l'unique fenêtre vérrouillée et habitée par une dizaine de toiles d'arignées. Il dégluti, et recula calmement, ne pipant mot. Il observa le sublime corps de sa jumelle. Il hésita à nouveau. Prise de conscience de ce qu'il allait faire, mais non, il pensa alors qu'il était comme il était, et qu'il n'y pouvait rien changé, c'était un pervers, bon ben. . . Il la considéra à nouveau. A son tour d'être honteux. il baissa les yeux, immitant tout bon gentleman. en vain puisq'à chaque fois qu'il levait les yeux, c'était sur elle, qu'ils tombaient. Il s'approcha.

Arrivé au niveau du lit simple, il posa un genoux sur le matelas, et s'allongea auprès d'elle, le coude sur l'oreiller, la tête posée sur son poing. (en fait, Alexiel est positionné allongé face à Emeï; donc couché mais de profil, j'ai du mal =_= ).

Il agit en douceur. Peu à peu, il approcha sa bouche de la jeune femme, et commença à lui lécher le cou.

Simple pulsion ?

Alors que la jeune fille avait les yeux fermés. On aurait même pu dire qu'elle avait les yeux rivés sur ses pensées. Tellement de choses se bousculer dans son esprit, qu'elle avait du mal a contenir le tout. Tant de chose de méler entre eux, tant de sentiments. Et puis tant de regrets de uestion, souvent sans réponse. Seulement, une seule question se fracasser dans son esprit, n'en sortant que lorsqu'elle penser avoir trouver la reponse, toujours la mauvaise. Qu'allait-elle faire maintenant alors qu'elle avait atteint du bout des doigts un reve qui ne faisait que commencer ? En fait, elle ne preferait même pas avoir de réponse. Parce qu'elle savait qu'elle ne lui conviendrait en aucun cas.

Elle sentit le jeune homme approcher. Pour être plus precise, elle avait tout d'abord sentit son odeur, et puis après elle avait entendut ses pas. Elle ne voulut pas ouvrir le yeux, parce qu'elle avait bien trop peur d'affronter la réalité, sa réalité. Elle sentit le souffle du jeune homme sur son cou et frissona quand elle sentit celui-ci lui lecher le cou. Le même frisson que quand il l'avait embrasser. Et le même quand elle l'avait vue de loin. Le simple contact de sa peau sur la sienne la faisait frissoner. Parce qu'elle avait froid mais a l'intérieur, elle bruler. Comme une fièvre qui ne s'appaisait pas, elle était malade, oui mais malade d'une seule personne.

Elle se retourna en direction du jeune homme et ouvrit les yeux. Son regard croisa celui du jeune homme et elle les referma aussitôt. Elle se rapprocha de celui-ci jusqu'a sentir son souffle sur son visage. Elle ouvrit les yeux et sans regarder le jeune homme et passa sa main dans ses cheveux. Elle pris entre ses mains le visage du jeune homme et l'embrassa. Elle ferma les yeux pour mieux savourer ce moment. Elle decolla sa tête et lui souria. Si ce n'est qu'elle avait envie de pleurer. Sans vraiment savoir pourquoi. Elle laissa sa tête s'aplatir contre le matelas et caressa la joue d'Alexiel avant de lui murmurer :

« Elles sont douces tes joues... »

(mdr désolée j'ai pas put m'empecher de raconter une connerie tu me pardonne ? XDDD)

Bon ok, y'a pas plus romantique comme chose a dire. Mais après tout, quand on avait jamais vecu l'amour on réagi pas forcement comme de nombreux le font...

[j'tiens à m'excuser parce que là, ça frole le hentai =_= ]

Alexiel sentait bien qu'il dominait facilement la situation. Ca ne voulait pas dire qu'elle n'en avait pas eenvie, ni qu'elle était coincée ou quoi, non. SEulement, il était conscient que jamais quelqu'un n'avait oser aller si loin pour elle, et que personne ne lui avait attaché un peu d'amour. La pauvre jeune femme avait été seule, toute savie depuis tellement de temps. . .Tellement de temps qu'il attendait, plus rien ne le repousserait d'elle, de son corps, ou de tout ce qui pouvait bien les concerner.

Ils s'en foutaient de tout, puisqu'ils étaient deux. Elle l'enlaçait, preuve de courage pour quelqu'un qui ne connaissait rien au sentiment qu'on appelait la joie. Mais il voulait la prendre ce soir. Et il la prendrai, c'était certain. Il désirait tant de choses, il était excité et probablement habité de multiples idées perverses. Il sentait bien que cette fois, toute tentative de blocage face à la passion serait inefficace. alors plongea sa main dans son décolleté, entra en contact avec elle, alors qu'ils échangeaient de nombreux baiser, mêlant leurs langues et leur amour. il carressait le moindre bout de peau, dévorant les minutes comme des heures et des heures. . .

Il se mit à califourchon sur la jeune femme. Il désirait la faire jouïr, il désirait l'épouser, lui faire des enfants, il désirait, il désirait tellement. . .
Puis vint le moment intense. L'instant ou tout disparait. de sont autre main, il lui ôta avec habileté son soutein gorge, ne put s'empêcher rougir apercevant la poitrine flatteuse d'Emeï. Il détourna vit le regard, se retirant presque d'elle.

- Pa. . . Pardon, mais j'tiens plus. . .

il lui aggrippa les cheveux, passa une main balladeuse à l'intérieure de l'entrejambe de l'adolescente. Bien sûr qu'il y prenait du plaisir.
Et puis il passa à l'acte. Il pénétra. Les deux corps s'entrelacèrent.

Pour la première fois, il réussit à lui sussurer. . .

- . . . Je t'aime.

Il était vrai qu'elle l'aimais. Il était vrai qu'elle le desirer si fort que rien n'aurait put la separer de lui a ce moment. Mais elle n'y croyait pas... Le simple contact de ses mains sur son corps et de ses regards la faisait frissoner. Un reve presque iréel, ce n'est qu'au moment ou il retira son soutien gorge qu'elle pris conscience que se reve aller bien au dela de ses plus folles esperance. Non pas qu'elle n'eut pas evie de continuer, bien au contraire, car elle prit conscience au fond d'elle qu'elle ressenter plus que de la simple attirance pour cet homme qu'elle voulait faire sien d'une façon ou d'une autre, qu'il le veuille ou non... Et c'était bien plus qu'une nuita ses cotés qu'elle voulait passer, c'était l'eternité et bien plus... Plus qu'une simple caresse sur son corps blessé, c'était bien plus... Plus... Plus est un mot qu'elle aurait utilisé toute la soirée si elle le voulait. Plus de moment intense, ou son corps pourrait trouver une autre forme d'amour. Plus intense encore que chaque baisers et chaque caresse dont elle rever. A croire qu'elle faisait tout pour que l'on l'entende. A califourchon ( Je kiffe ce mot XDDD ) sur elle, elle l'admirait. Elle admirait son regard. Ce n'était pas celui d'un homme qui voulait aimer, mais plutôt de celui qui voulait lui montrer. Sur qu'elle y croiyait, et il lui avait montrer. Il lui en fallait plus... Plus pour nourrir un si grand besoin de se sentir aimer a travers ses gestes. Et la douce chaleur qui l'envahissait a chacn de ses mouvements. A moitié endormie, bercé par un bien-être qui la dominer a chaque seconde plus fort, elle n'entendit que deux mots caresser ses oreilles immunisé de son :

- . . . Je t'aime.

Deux mots qui vous faisait parcurir un long frisson le long de l'echine. Ces mots qu'elle avait si longtemps rever d'entendre. A vrai dire, elle se resolut a essayer de les repeter. C'était peine perdut. Come une boule qui l'empecher de murmurer le moindre mot, coincé entre un moi aussi et puis l'envie de fuir. Elle se redressa lentement et jeta un coup d'oeil par la fenêtre. L'envie de l'ouvrir et de s'enfuir, et puis l'envie de rester bien au chaud dans un nid de douceur et de chaleur. Elle se retourna vers Alexiel et posa son menton sur ses genoux. Dans ces moments la, elle n'avait aucun don pour engager ne serait-ce qu'une once de conversation. Elle ne saurait lui repondre, alors elle lui sourit. Mais jamais elle n'avait encre sourit de cette façon. Ce n'était pas pouer faire bonne impresison comme dansson habitude, un sourire froid sas bonne humeur, celui la était comme un remerciement. Une réponse sand doute ...

C'était beau et ça durait encore, à nouveau, et encore. . .
Il faisait de nombreux va et vient. (XDDDD EXCELLENT XD) Il la contemplait et découvrait unpeu plus de la jeune femme. Tout allait bien vite, comme si l'onavait fait exprès de toute prévoir, sauf que, pour une ultime fois, rien ne els interrompait. Rien de rien, le néant total. Il faisait chaud dans la pièce à présent. La buée envahissait la moindre vitre, Il dévia son regard sur celle - ci, esquissa un sourire imperceptible de bonheur, il était heureux. Tout simplement, il était avec elle et personne d'autre. La nuit assombrissait le ciel, les rares étoiles qui parsemaientle ciel brilaient de leurs présence malgré tout.

Alexiel l'observa pour la énième fois de haut en bas, il arait pu écrire mille descriptions les unes plus sublimes que les autres sur le corps d'Emeï. Il reconnaissait cette tâche de naissance sur la hanche de sa cadette. Il se redressa, adossé au mur, la couverture recouvrant ses jambes musclées, dévoilant son grand torse nu, et ses larges épaules.
Le jeune homme entendit alors le bruits des genooux qu'Emeï avait ramené sur sa poitrine blanche. Elle le fixait, pleine d'attention. Il voyait qu'elle désirait mais n'y arrivait pas. Il songea un moment que cet amour était une histoire magnifique, et que sincèrement, il éspérait qu'un matin, elle se réveille et lui glisse un "je t'aime" sur d'elle. Malheureusement, pour le moment c'était trop tôt. Et il comprenait.

A ce moment il lui adressa une expression des plus douces, attendrissai son visage à la façon d'un grand frère protecteur de sa jeune cadette dont il assurait la sécurité, et ce à n'importe quel prix.

- T'en fais pas, j'attendrai.

Il savait bien qu'il n'était pas le seul des deux à se sentir déçu. Mais il laa connaissait bien mieux que quiconque, et il était prêt à attendre. Il se redressa, le matin arrivait, la soirée mouvementée s'échouait au loin sur l'horizon, mélanges de multiples roses différents. Il sortit du lit miteux pour revêtir son caleçon, son pantalon, mais laissa la chemise à sa place, le dossier de la chaise. Il se retînt de soupirer, il ne souhaitait pas montrer à Emeï sa déception, par ailleurs sans doute partagée.

* Merde, j'ai encore fait un cauchemard . *

Ils avaient dormi quatres petites heures entre leurs galipettes. Ce lapse de temps suffisait à laisser les remords pénétrer les rêves de l'amoureux. . .Criminel. Sa silhouette si séduisante se détachait véritablement du cadre le la fenêtre.

( Pourkwa excelent ? XDDDD Vas-y continue a faire peur aux petits enfants tiens ! XDDD )

Et encore quelque chose de perdut. C'est vrai qu'elle avait longtemps rever d'un moment pareil. Mais jamais elle n'avait rever qu'elle n'aurait même pas put repondre. Elle l'aimais, elle le savais mais peut-être que son esprit le refuser. C'est vrai, qu'étant restée seule, jamais elle n'aurait put imaginer un jour l'entendre dire "je t'aime", fallais bien avouer que pour elle, cela resterais un pur moment comique. Sans doute que cela sonnerait faux si elle le disait de sa voix fluette et sans assurance. Mais pourtant la, elle aurait aimer le dire mille et une fois. Et se souveir de sa réaction qu'elle se repasserais en boucle jusqu'a ce qu'elle soit convaincu qu'elle l'avait bel et bien dit. Il l'a regarda, et avec un visage attendrissant lui dit :

- T'en fais pas, j'attendrai.

A vrai dire, il fallait deja qu'elle attende de pouvoir elle-même le dire. Il suffirait, ne serait-ce qu'un seul moment ou son esprit semettrais a vagabonder, por lui promettre toute les promesses qui exister au monde. Seulement, son esprit retait attacher a la réalité, et semblait ne jamais vouloir s'en detaché. Le jeune homme se leva, se rhabilla, et se dirigea a la fenetre. Et une sort de flash revint en mémoire a la jeune fille. Peut-être quelque de trop horrible pour qu'elle veuille s'en rappeller, et le decrire. Elle empoigna le drap et s'enroula autour tant bien qu'elle put. Alors qu'Alexiel se dirigeait vers le centre de la piece, quittant l'encadrement de la fenetre, Emeï se dirigeait derrière lui et, devant la fenêtre qui jouer de doux rayons sur ses formes et ses longs cheveux noirs, elle murmura, enlassant ses doigts dans ceux d'Alexiel :

« Je... Je t'aime alors s'il te plait... Me laisse pas... Je t'aime... »

Le simple fait de l'avoir avouer lui fit monter les larmes aux yeux. Elle ne voulait en montrer aucune, elle ne voulait qu'aucun de coule sur sa joue et vienne terminer son voage en s'ecrasant sur le sol en bois sans doute plein de termite. Comme pour la narguer, une seule larme traca un longsillon sur sa joue. Caressant doucement sa joue pâle, elle s'écrasa en un cliquetis presque inaudible sur le sol.

D'un coup, il se dressa. (Alexiel hein . . . XD J'peux continuer à faire peur aux gosses? xD) Il avait entendu, merveilleuse chose au monde, épatante phrase qu'il ne s'attendait plus à entendre avant. . . Trop longtemps. Alexiel se trouvait de profil, seule sa tête s'était dirigée vers son a(i)mante. Il sentait la tiédeur des mains moites de cette dernière, peu confiante en elle, capable de lâcher la sienne à tout moment.

Il aurait voulu retenir cette larme ci solitaire, la voir pleurer lui pinça le coeur. L'eau de rose devenait presque à gerber ce matin là. Le garçon l'enlaça amoureusement.

* T'es débil, t'vas le regretter ça aussi .*

Une vision d'horreur s'imissa en lui. il se décolla d'elle en un rien de temps, reculant pas à pas j'usqu'au mur sur lequel il plaqua les paumes de ses mains. Angoisse. Ce flash décrivait l'arme qui avait tiré, les ématomes conséquents sur le cadavre qu'on avait rué de coup, les éclaboussures de sang d'une couleur intense.

Son coeur sortait pratiquement de son échine, chaque battement lui infligeait une douleur atroce qu'il qualifiait juste pour les actes qu'il avait commis.

Il s'afaissa au sol. A genoux, le fugitif n'eut pas rassemblé assez de courage à temps pour affronter les yeux de sa belle. Il était en posture d'infériotié, et pathétiquement , il le savait bien. il aurat voulu qu'elle le pardonne, qu' elle soit là et qu'elle aie vue la scène, qu'elle l'ai compriss à cet instant. Et là, comme une claque qu'on lui tirait sur sa joue blême, le coup de feu après la tentative d'étranglement lui suffit à se retourner, pour vomir . Il avait honte.

(PIKACHU ATTAQUE TONNERRE !!! XDDDD désouley ca n'a rien a voir XD ET ARRETE DE FAIRE PEUR AUX GOSSES !! XD)

A l'instant même ou la phrase sorti du fin fond de ce qu'on aurait appelle son coeur, elle regretta ce qu'elle avait bien put faire. Malgré cela, elle essuya ses larmes et affronta l'etrainte amoureuse que lui servit Alexiel. Et puis il se retira vivement. Comme si il avait recu comme une decharge il recula pas a pas vers le mur qui avait peine a tenir debout. Sueur froide qui l'avait obliger a tomber a terre. Elle avait mal. Mal de le voir comme ça, mais elle ne reussit ni a bouger ni a parler. Comme si quelque chose l'empechait d'intervenir, c'est ses jambes qui refusait d'avancer. La laissant planter devant, a quelques minutes d'exploser. Parce qu'elle avait retenu trop de larmes. Mais elle s'était interdit de les verser, que ce soit devant lui ou devant un vide qui s'était installer devant elle.

Il s'était laisser tomber sur le sol, et se retourna. Vomit ce qu'il lui rester sans doute de fierté, la, elle ne put le regarder plus longtemps sans rien faire. Elle laissa tomber le drap dont elle s'était couverte et, nue, se dirigea vers le jeune homme. Elle ne le regarda pas avec pitié, non, parce qu'il était different lui. C'est vrai qu'elle avait peur. Son coeur battait si vite qu'elle se demander bien si il n'allait pas exploser. Elle soupira et l'enlaça de ses bras fragile. Maintenant, elle ne voulait plus le quitter...

De sa voix fluette elle lui murmura au creux de son oreille :

« Parle-moi s'il te plait... »

A vrai dire, c'était de ca qu'elle avait peur. Elle avait peur de ce qu'il lui repondrait. Parce qu'elle savait. Oui elle savait que ce qu'il allait lui dire, elle ne l'aimerait pas...

Un long moment en l'asbsence de paroles s'installa après ce qu'il s'était passé.

Alexiel Van Manson avait peur.
En soi, ça n'avait rien d'étonnant puisqu'il avait agit de façon ingoble et en était conscient, mais d'autant plus qu'à présent Il y avait Emeï qui subissait elle aussi ce sentiment d'angoisse permanent, qui durait.

* Qu'est -ce que j'ai fait. . .Oh, mon dieu, qu'est -ce que j'ai fais. . . *

Il avait un visage prédestiné à avoir mal, à crier du plus profond de son être, à hurler qu'il regrettait, qu'il était coupable et qu'il le savait, qu'il était inutil de le lui rappeler. Soudain, il se rappela.

--------FLASH BACK-----------

oh please, believe oh, baby baby believe, just for me, believe. . .

Leur père était une personne à forte corpulence, quelqu'un d'apriori normal, si ce n'était que ses deux enfants jmeaux avaient été séparés à la naissance à cause de leur "relations" jugées bien trop proches." Et voilà seize ans qu'il ne les avait aperçut.

On sonna à la porte de son appartement dont le rangement et la propreté laissait à désirer, car il passait ses journées devant son poste de télévision à siroter des bières périmées, à sa gratter le ventre dodu et à s'endormir alors que son plat surgelé cramait dans son micro-ondes.
Il se leva et ouvrit la porte. Un jeune homme au regard froid se tenait sur le seuil. Il était grand et fin, avec un petit air qui lui était familier : Son fils.
Le vieux commençait à grimacer.

" Tu donnes plus de nouvelles et tu reviens? et où est - elle ta putain de soeur ?! Hein?! "

Son fils entra sans sa permission. Celui - ci ricana haut et fort, puis cracha au visage de son paternel. Il aborda un visage différent, sortit un silencieux, et aligna le viseur sur l'obèse.

- Ose donc répéter, papa chéri.

Le vieux saisit un couteau et se précipita vers le jeune adolescent puis lui enfonça dans le bas du ventre. L'enfant déglutit et hurla de douleur.

----------------FIN DU FLASH BACK-------------

La suite, Il la connaissait sur le bout des doigts. Il regarda Emeï, l'air fatigué, lassé, blessé. On lisait à l'intérieur un infime tristesse qui gardait, malgré tout, l'envie d'Elle: (voir image)

- Haïs Moi.

Le silence d'abors et les paroles ensuite. Chaque seconde qui passait lui semblait eternel. Elle l'écouta, buvant chacune de ses paroles, ne le quittant pas une seule fois des yeux. Alors, quand il lui demanda de le haïr, une frisson d'angoisse parcourut le corps de la jeune fille. Elle poussa un long soupir puis s'approcha lentement d'Alexiel avant de l'embrasser tendrement. Elle recula et le scruta de ses yeux émeraude. Elle posa une main tiede sur la joue du jeune homme avant de lui dire d'une voix qui se voulait rassurante :

« Quoi que tu fasses, je ne pourrais jamais te haïr, alors s'il te de plait, ne me le demande pas... »

Elle ne pouvais cacher en aucun cas qu'elle était deçue, mais finalement, elle n'en dit rien. Elle se contenta de s'adosser au mur près du jeune homme et de fixer son regard vers la fenêtre, avant de continuer d'une voix assurée :

« Quand j'était dans ma famille d'accueil, j'avais tué leur chat... J'avais demander a te voir, et ils me l'ont refusé. Alors je l'ai tuer... J'avais même dis que la prochaine fois, ce ne serait pas qu'un vulgaire chat que je tuerais... »

Elle laissa tomber sa tête sur l'épaule du jeune homme et lança d'une voix douce :

« J'aimerais t'en vouloir... Mais je ne peut... je ne veut pas »

Elle poussa un long soupir, le fait de ne pas savoir quoi repondre la gener. Elle savait qu'il fallait qu'elle s'y prenne d'une autre façon, mais elle preferait agir a sa manière, maladroitement...

D'une voix plus profonde, rassurante, elle continua :

« Et puis, ne trouve tu pas debile d'en vouloir a la seule personne qu'il nous reste au monde ? Moi si... »

Elle se redressa et se dirigea vers l'endroit ou elle avait deposé sa robe. Elle l'enfila a la va-vite et entreprit de lisser ses cheveux avec ses mains. Elle n'en eut pas le besoin car ses cheveux étant tellement lisse, que ses doigts fins glisser seuls dans ses cheveux. Elle s'assit ensuite sur le lit et poussa un bref soupir, laissant vagabonder ses yeux dans le paysage de la fenetre. Et d'une voix comme sorti de ses pensées, elle continua :

« Au moins, tu n'est pas mort... Je prefere avoir un... père mort, que de te voir mort... Je sais que je n'y survivrais pas... En tout cas, plus maintenant.... »

Elle frotta ses yeux fatigué et bailla lentement. Elle était fatigué et elle le sentait. Dans ces moments la, elle se detester, de ne plus avoir son teint de porcelaine, c'était une chose qu'elle detester.

A dire vrai, son père, elle ne l'avait jamais vraiment connu. Elle avait dut le voir, mais elle ne s'en souvenait pas plus que ca. De tout façon, tout souvenir de lui aurai était une mauvaise chose. Parce que remuer le passé, elle n'aimais pas...

Elle se mit a genoux devant Alexiel et le fixa de ses yeux emeraude.

« S'il te plait, n'oublies pas que si tu as besoin je serais la. Mais ne lutte pas tout seul... Et ne te mets ps dans des états comme ça, je n'aime pas voir ça... »

Elle l'enlaça de ses bras fins et continua d'une voix tremblante :

« Parce que je t'aime et que je n'est pas envie que tu te fasse du mal pour ca. Je ne jugerais jamais, ni toi, ni tout ce que tu pourras faire... »

Bien qu'elle n'avait pas l'habitude de deballer out ce qu'elle penser, elle avait au moins trouver le courage de lui avouer.

Il ne trouva pas la force d'aquiescer, il était déjà bien heureux qu'elle ne l'ai pas observé avec un air de dégout, même q'elle soie effrayée de ce que son jumeau avait fait, avait commit. S'il y avait bien quelque chose sur terre qui le poussait à être envie sans se jeter d'un pont, c'était bien elle. De tout le discours qu'Emeï lui avait dit, une seul chose lui avait ouvert les yeux.

« Et puis, ne trouve tu pas debile d'en vouloir a la seule personne qu'il nous reste au monde ? Moi si... »

Touché coulé. Flèche en plein dans le mille, le bingo du jour, et la demoiselle raflait la mise. Il se leva, grâce à l'appui du mur derrière lui. Bien que la matinée aie vite tournée au désastre, elle déposait un pansement sur la plaie, sûrement sans s'en rendre véritablement compte, mais qu'importe.

Il passa une langue discrète sur ses lèvres. Une fraction de seconde pour savourer le goût de son ancien baiser. Il replaça une mèche de cheveux avec sa main gauche, et plongea son regard dans le sien.

- La seule personne.

Il apaisa son visage, comme si toutes les misères du monde s'envolaient tels des oiseaux migrateurs, vers un aute part, un ailleurs mystérieux dont il ne connaissait pas le nom. Le jeune homme passa un rapide coup d'oeil dehors, et vînt la serrer contre elle, d'un câlin presque enfantin, fraternel.

- Tu sais, je ne regrette pas de l'avoir fait.

Il utilisait la phrase à double sens, et, pour la nuit folle en rebondissements ( huhu . . .), mais aussi pour l'horrible acte qui hantait le plus court de ses rêves, dès lors qu'il fermait ses paupières afin de s'arracher du cruel monde. Cette chienne de vie le rendait dépendant de sa jeune soeur, et, bien que pour une autre personne, il aurait trouvé
ça pathétique, autant pour lui, il quallifiat ce qu'il ressentait comme un sentiment indescriptible et merveilleux.

* Merci. Je suis sûr que sans en prendre conscience, tu sais que tu trouves les mots. Nous avons toujours eût les mêmes, toi et moi. *

Se retirant doucement du corps de sa bien aimée, il s'éloigna, afin d'ouvrir la fenêtre, d'aérer la pièce, puis se pinça le nez.

- Mais c'est que ça sent le phoque trop cuit, ici !